La Pyrénéenne a eu lieu les 18 et 19 juin 2016 dans le Comminges. C'est facile à trouver, c'est tout au fond, en bas, à gauche. Didou nous livre ses impressions 
Hello,
Retour tranquillou-gillou de La Pyrénéenne effectué en 2 jours, par les petites routes. Avec un départ vendredi, c'est donc 4 jours qu'il nous aura fallu pour aller faire un petit coucou à l'ami Tess, sa très chère et tendre Marie (on se calme derrière :-D) et sa joyeuse bande de fadas. Un avant-goût des vacances, la banane sous le casque, même si la pluie s'est invitée sans qu'on lui demande 2 jours sur 4.
Une fois n'est pas coutume, j'avais ressorti le side, après avoir passé une partie de l'hiver à le remettre en état. Ormis quelques boulons à resserrer, rien à signaler, il a tourné comme une horloge (ceux qui me connaissent savent que j'aime ça, les horloges qui tournent).
Sur place, l'accueil était forcément à la hauteur avec un site extra où planter la guitoune, et une salle des fête suffisamment grande pour les 80 que nous étions.
Retrouvailles habituelles accompagnées d'un ou plusieurs verres de jus de houblon, des discussions tournants, comme d'habitude, essentiellement sur nos Guz (ou autres bizarreries). L'apéro ainsi que le repas du samedi soir étaient égayés par l'école de musique de Clarac, qui a fourni une superbe prestation, avec un répertoire bien garni :-). Les derniers s'étant fait foutre dehors sur le coup de 4h du mat, une bonne partie de l'effectif a pu faire la balade dominicale. D'autant plus qu'il aurait été dommage de la rater, le passage du Port de Balés étant à l'ordre du jour. Vue magnifique sur les Pyrénées garantie, même si en haut, la brume est venue boucher un poil l'horizon.
Pour ma part, le side m'a permit de faire celle-ci de façon détendue, le site ayant été pour ma pomme, le théâtre d'une cascade en 2 roue ratée quelques mois plus tôt. En Charente-aquatique, les locaux ont l'habitude de dire :"la prune, pas le bocal !". Merci donc aux 3 roues de m'avoir évité le ridicule d'une 2ème pelle.
Retour sportif sur le site, certains étant visiblement pressés d'engloutir leur repas du midi et de rentrer à la maison. Dommage, car les repas servis (autant le soir que le midi) méritaient que l'on s'y attarde afin de les apprécier à leur juste valeur. Bises au cuistot.
Pour conclure, gros-gros merci à Tess et son équipe pour nous avoir mijoté une concentre dans mes chères Pyrénées, coin qui n'est pas souvent au programme, hélas !
Les tofs, c'est par là
@+ et @dishatz. 
Didou
