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          700 bornes nous séparent du lieu de la concentration. Pas du camp évidemment bien que... En tant que retraités, pas question de faire le forcing. Deux jours ont cependant suffit pour arriver sur les lieux de tous les délires si l’on peut dire.

          Première halte après 350 Km. Journée calme et sans encombre. Le repas de midi, casse-croûte, lequel a été complété vers 16 h par un arrêt cacao et viennoiserie. On ne se refuse rien !

 

          Richar ville nous sert de ville étape. Cadre idyllique, calme, propice à une nuit réparatrice. Deuxième jour de route, petit-déjeuner à Chartres. Une halte prolongée nous a effleuré mais bon, enfin, soit, il y a encore de la route.

 

          Pour le week-end, nous déposons nos valises à Langon. Petit village pittoresque et bien accueillant. Nous sommes fin prêts pour ce week-end de festivités. Les arrivées à Guipry-Messac sont prévues à partir de 16 h. Petit à petit, un camp de toile se dresse. Une vaste prairie, bien tondue, offre un lieu de camping bien agréable, et,
cerise sur le gâteau, pas de pluie, plein soleil et température estivale. Qu’il est bien agréable de revoir les compagnons croisés lors de précédentes activités organisées par la Scud’.

 

          L’AG est rondement menée par nos présidents de choc et leurs acolytes. Cette formalité remplie, les agapes peuvent commencer. Au menu, apéro, soupe, osso-buco polenta, dessert. Le tout évidemment arrosé comme il se doit en respectant l’adage : « Un verre, cela va ! Deux, bonjour les dégâts ! ».

 

          Enfin le logement juste derrière la porte a été, pour certains, le bienvenu. La convivialité légendaire des scudeux nous a permis de vivre une soirée bien agréable. Nous n’en sommes pas restés là, le dimanche matin a commencé par un petit-déjeuner et ho ! Surprise !

 

          Une petite balade matinale dans les bocages des alentours à réveiller nos destriers tous aussi vaillants les uns que les autres. Pour clôturer le tout, un déjeuner collectif a continué à ravir nos papilles.

 

          Pour autant, pas question de se quitter sans donner de notre personne afin de rendre une salle nickel. Quant à nous, nous prolongeons notre périple scudeux d’une ou deux journées afin de visiter les alentours.

          Au plaisir de se revoir.


PS : J’ai ouïe dire qu’une sortie en Belgique pourrait se concrétiser...

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La ZE 25, les photos !